Les réflexes archaïques correspondent à nos premiers programmes neurologiques. Ils commencent à émerger in utero, dans le ventre de notre maman.

Dans le meilleur des cas, ces reflexes maturent durant nos premières années de vie et nous permettent d’exploiter nos potentiels comme ils se doivent. Dans le cas contraire, nous créons des systèmes de compensations.

En soi, nous pourrions dire que ce n’est pas grave et en effet, ce n’est pas grave… Sauf que ces reflexes non matures viennent parasiter notre quotidien. Un peu comme lorsque nous marchons avec un caillou dans la chaussure.

Nous pouvons retrouver divers cas, tels que, les troubles de la mémoire, de la concentration, d’apprentissages, l'hyperactivité ou au contraire, la lenteur, une gestion des émotions difficiles, l'énurésie, l'insomnie, les vertiges, les maux de transport, la dépendance (affectif, drogue…), les maladresses, la procrastination, l'anxiété, les chutes à répétitions, la sensation de marcher à coté de ses baskets, une mauvaise estime de soi, … etc. 

Travailler ses réflexes permet de mieux-être. C’est remettre ses bases en place. Ainsi, incarner la personne que nous voulons être, devient PLUS FACILE. A l’image d'une pyramide, les réflexes archaïques, sont tout en bas et nous pouvons facilement imaginer que si la base n’est pas stable, c’est toute la structure qui ne trouve pas sa juste place.